☼ Dom Juan
Titre :
Dom Juan
Auteur :
Molière
Langue :
Français
Date
de parution : 2004
Editions :
Pocket
Genre/catégorie :
Pièce de théâtre
Nombre
de pages : 127
Prix
: 1,55 €
Résumé
En
1664, Dom Juan déchaîne le scandale et soulève les passions.
Molière a déjà ridiculisé la société de son temps, précieux,
marquis, médecins, dévots. Le personnage de Dom Juan, figure
exemplaire de l'impiété et de l'athéisme, lui offre un sujet plus
dangereux encore. Ce grand seigneur est le diable en personne. Il
blasphème, méprise ses créanciers, étincelle d'esprit et de
méchanceté. Il séduit mille femmes, pour les humilier après. A
ses côtés, son valet, Sganarelle, est terrorisé par son insolence,
son aisance, son cynisme.
Aujourd'hui
encore, le génie et le miracle de Molière, dont la voix s'élève
chaque soir dans tous les théâtres du monde, nous fait rire et
frémir.
Mon
avis
J'ai
beaucoup aimé cette pièce de Molière, qui est un auteur qui, je
pense, pourrait me plaire beaucoup... Je pense vérifier cette
hypothèse en lisant d'autres pièces qu'il a écrites ! En
attendant, Dom Juan, qui était une lecture scolaire, m'a beaucoup
plu ! Malgré quelques dialogues difficiles à comprendre, comme
par exemple, ceux entre Pierrot et Charlotte, l'histoire est
plaisante, amusante, j'ai bien aimé le personnage de Sganarelle et
le caractère de Dom Juan, surtout sa non-croyance en Dieu, qui m'a
fait me sentir un petit peu proche de lui, m'identifier un petit peu
à lui !
J'ai
bien aimé les personnages de Pierrot et de Charlotte également,
même si c'était un peu difficile de comprendre ce qu'ils disaient,
car Molière a utilisé un langage un peu « rustre » !
En
somme, c'est une pièce qui m'a beaucoup plu et qui me donne envie
d'en lire plus de cet auteur !
18,5/20
Extrait
DOM
JUAN
Je
vous avoue, Madame, que je n'ai point le talent de dissimuler, et que
je porte un cœur sincère. Je ne vous dirai point que je suis
toujours dans les mêmes sentiments pour vous, et que je brûle de
vous rejoindre, puisque enfin il est assuré que je ne suis parti que
pour vous fuir ; non point par les raisons que vous pouvez vous
figurer, mais par un pur motif de conscience, et pour ne croire pas
qu'avec vous davantage je puisse vivre sans péché. Il m'est venu
des scrupules, Madame, et j'ai ouvert les yeux de l'âme sur ce que
je faisais. J'ai fait réflexion que, pour vous épouser, je vous ai
dérobée à la clôture d'un couvent, que vous avez rompu des vœux
qui vous engageaient autre part, et que le Ciel est fort jaloux de
ces sortes de choses.
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