☼ Charlie et le grand ascenseur de verre
Titre : Charlie et le grand
ascenseur de verre
Auteur : Roald Dahl
Illustrateur : Quentin Blake
Langue : Français
Date de parution : 1978
Editions : Folio Junior (Gallimard
Jeunesse)
Genre/catégorie : fantastique,
littérature jeunesse, imaginaire
Nombre de pages : 196
Prix : 6,80 €
Résumé
Charlie a gagné la fabuleuse
chocolaterie de Willy Wonka qu'il survole maintenant à bord d'un
extraordinaire engin, le grand ascenseur de verre, en compagnie de
toute sa famille. Mais une fausse manœuvre va projeter l'ascenseur
dans l'espace. Un espace qu'ils découvrent peuplé d'êtres
fantastiques et monstrueux, les Kpoux Vermicieux, terreurs de
l'univers interstellaire, contre lesquels ils vont livrer une
terrible bataille...
La suite de Charlie et la
chocolaterie.
Mon avis
Je n'ai pas vraiment aimé ce tome 2,
qui n'a d'ailleurs pas grand chose à voir avec le premier... Et
c'est bien dommage ! Je n'ai pas retrouvé ce qui m'avait plu
dans le tome précédent...
Les aventures ici sont beaucoup trop
farfelues, tirées par les cheveux, n'ont pas toujours de sens ni de
but. On arrive à bord du Space Hotel U.S.A. mais on ne dépasse pas
le hall d'entrée...
J'ai trouvé déroutant le fait que le
Président américain se conduise comme un enfant, que l'espace soit
peuplé de monstres, qu'on visite à peine la Terre des Moins, que
grand-mère Georgina y devienne presque un fantôme et qu'on la voit
ensuite presque décomposée tant elle est vieille.
Ce livre se lit assez vite mais n'est
pas toujours très cohérent, et je n'ai pas retrouvé tout ce qui
m'avait fait m'amuser dans le tome 1, même s'il y avait quelques
moments drôles dans ce livre-ci...
11/20
Extrait
–Mais s'ils nous poursuivent ?
demanda Mr. Bucket qui ouvrait la bouche pour la première fois.
–Mais s'ils nous capturent ?
demanda Mrs. Bucket.
–Mais s'ils nous tirent dessus ?
demanda grand-maman Georgina.
–Mais si ma barbe était en
rhubarbe ! s'écria Mr. Wonka. On en ferait jamais rien si on se
demandait tout le temps : mais si ? mais si ? Est-ce
que Christophe Colomb aurait découvert l'Amérique s'il s'était :
mais si je coule en chemin ? Mais si je rencontre des pirates ?
Mais si je ne reviens jamais ? Il ne serait même pas parti !
Ici, nous n'avons pas besoin de « mais si ? mais si ? »,
pas vrai, Charlie ? Allez, on y va !
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